L’Apocalypse d’Adam (NH V,5)

Morard F.



Le temps et ses longues patiences — qui font mürir et se décanter toute chose — ont avant tout largernent servi ma recherche. Mais c’est à tous ceux qui en ont partagé les efforts et la lente maturation que je voudrais exprimer ici ma reconnaissance.

Au Professeur J.É. Ménard en tout premier lieu: je dois à sa confiance d’avoir pu entreprendre ce travail; à ses encouragements et à son savoir d’avoir su y persévérer. Au Professeur P.-H. Poirier ensuite: en me continuant la même confiance, il m’a permis de mener ma recherche à son terme. Les séminaires dont j’ai pu bénéficier en sein des équipes de travail à l’Université Laval de Québec, ainsi qu’à l’Université des Sciences Humaines de Strasbourg, m’ont apporté des éléments de clarification et de précieux enrichissements et je suis consciente de ce que mon étude doit à l’expérience et à la bienveillance de tous mes collègues, tant canadiens que français.

Mais je voudrais remercier de façon très particulière Messieurs J.-P. Mahé de Paris: il m’a aidée généreusement, à mes débuts, à débroussailler mon texte et ma traduction; P.-H. Poirier: je lui dois la collation de mon manuscrit sur l’original du Caire; P. Cherix: par ses précieuses connaissances en philologie copte, il m’a permis de préciser et d’affiner ma traduction et mon commentaire; Madame A. Pasquier enfin, qui s’est chargée du travail ingrat de mise en ordre des index.

Enfin je n’oublie pas mes collègues du groupe suisse d’Étude de la Littérature Apocryphe Chrétienne, en particulier le Professeur F. Bovon, son animateur et son responsable, non plus que mes proches et mes amis: si patiemment et si fidèlement, ils ont «supporté», dans tous les sens de ce terme, mon travail et ma recherche et m’ont ainsi donné d’avoir pu la conduire à son achèvement.

À tous je voudrais dire ici ma reconnaissance profonde et durable.

Fribourg, octobre 1984.
Françoise Morard